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Ratification du traité BBN: le Gabon s’impose comme un acteur mondial incontournable.

Coup d’éclat diplomatique pour le Président Brice Clotaire Oligui Nguema à la tribune de l’ONU. Loin des simples discours, le chef de l’État gabonais a transformé la 80e Assemblée générale en un véritable tremplin pour son pays, enchaînant les actions concrètes avec une efficacité remarquée. La stratégie ? Un savant mélange de leadership environnemental audacieux et de pragmatisme économique agressif.
 
Le Gabon, faiseur de jeu sur l’échiquier environnemental mondial
Le Président Oligui Nguema a marqué l’histoire non pas en parlant, mais en signant. La ratification de l’Accord BBNJ par le Gabon n’est pas qu’une formalité : c’est le geste qui a fait basculer le traité. En devenant le 61e pays signataire, le Gabon a lui seul a offert la majorité nécessaire pour l’entrée en vigueur de ce texte crucial sur la biodiversité en haute mer. Preuve que le pays ne suit plus le mouvement, il le crée. Les neuf aires marines protégées du Gabon ne sont plus une particularité locale, mais la preuve d’une expertise désormais exportée à l’échelle planétaire.
L’offensive économique gabonaise est lancée
Sur le front économique, la méthode est la même : aller de l’avant avec des partenaires de poids. La rencontre avec Ajay Banga, Président de la Banque mondiale, a débouché sur un engagement ferme : un soutien massif aux projets gabonais dans l’énergie, les infrastructures, la santé et le digital. Pas de place pour les vagues promesses. Le Gabon fixe son agenda et ses partenaires s’alignent.
 
Même succès fulgurant avec les Émirats Arabes Unis. Les discussions ont dépassé les simples intentions pour aboutir à des décisions : accélération des implantations d’entreprises émiraties dans le gaz et le pétrole, et une invitation officielle pour une visite d’État à Abu Dhabi. Le Gabon n’est plus un terrain d’exploration, mais une destination d’investissement prioritaire.
 
Nouveaux alliés, nouveau rayonnement
La démonstration de force s’est achevée par un coup de maître géopolitique : l’établissement de relations diplomatiques avec le Kirghizistan. En jetant les bases d’une coopération solide dans les mines et l’énergie, le Gabas élargit son cercle d’influence bien au-delà de ses partenaires traditionnels. Le message est clair : le pays est ouvert aux business et aux alliances innovantes, partout dans le monde.
 
Une journée à New York qui ressemble à un manifeste. Sous la conduite d’Oligui Nguema, le Gabon n’est plus un spectateur sur la scène internationale. Il en est désormais un architecte actif, maniant avec autant d’aisance la cause environnementale que les réalités économiques. L’émergence n’est plus un projet, c’est une action en cours.

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